1958. Du haut de ses six ans, Mahmoud Slimani, algérien et toulonnais, porte un regard curieux et tendre sur ces deux mondes qui se déchirent. Bonne chance, Petit Polio... Farid Boudjellal s'est souvenu de sa propre enfance toulonnaise pour écrire les récits de Petit Polio. On y retrouve les joies et les peines d'un enfant, la solidarité familiale, la douleur du deuil et le handicap, qui occupe une place prépondérante mais non centrale du récit.