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Livre 1 |
Africa trek |
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Poussin Alexandre |
2004 |
Récit de voyage |
1313 |
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Livre 1 |
L'Odyssee blanche |
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Vanier Nicolas |
1999 |
Récit de voyage |
1169 |
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Livre 1 |
Seule dans le vent des glaces |
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La Ferriere Laurence De |
2000 |
Récit de voyage |
885 |
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Livre 1 |
Croisieres et caravanes |
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Maillart Ella |
2001 |
Récit de voyage |
517 |
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Livre 1 |
Dans les pays de l'axe du Mal
Résumé
A une époque où les couteaux dans les avions sont en plastique, Tony Wheeler peut se vanter d'avoir visité tous les " Etats voyous " qui défraient la chronique internationale. Dans les pays de l'axe du Mal est le carnet de bord, plein d'esprit et d'observations inédites, de ses différents voyages parmi les régimes les plus répressifs ou les plus dangereux du monde : l'Afghanistan, l'Albanie, l'Arabie saoudite, la Birmanie, la Corée du Nord, Cuba, l'Irak, l'Iran et la Libye. Considérant l'attitude de chaque pays à l'égard des droits de l'homme, du terrorisme et de leur politique étrangère, il se demande ce qui fait qu'un pays est " fondamentalement mauvais ". Mais sur place, il fait aussi la rencontre d'une galerie de personnages hauts en couleur et d'infortunés guides touristiques, médite sur les caprices de l'histoire et malmène quelques préjugés tenaces. Ecrit par le fondateur des guides de voyage Lonely Planet, ce récit fascinant de la vie quotidienne dans ces pays reclus séduira tous ceux qui se passionnent pour la marche actuelle du monde.
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Wheeler Tony |
2007 |
Récit de voyage |
853 |
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Livre 1 |
Carnets d'Asie
Résumé
" Mes carnets d'Asie ne sont rien que des notes personnelles, impressions griffonnées sur mes genoux, au bord d'une rizière ou dans un bus de fer-blanc, couvrant des pages et des pages barbouillées de sueur ou étoilées de pourpre par un moustique gorgé mais vaincu ". En revisitant ses souvenirs rapportés de Thaïlande et d'Insulinde, Gabrielle Wittkop a élaboré, avant sa disparition, ce parcours idéal où le temps s'incline devant une région à la richesse infinie. Carnets d'Asie oscille entre le journal de voyage et l'intime expérience extrême-orientale : chaque récit nous plonge avec une sensibilité exacerbée dans des cultures, des épopées mythiques, des instants de vie uniques.
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Wittkop-Ménardeau Gabrielle |
2010 |
Récit de voyage |
707 |
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Livre 1 |
En avant, route !
Résumé
Alix de Saint-André a pris trois fois la route de Compostelle. La première fois, elle est partie de Saint-Jean-Pied-de-Port, sur le chemin français, avec un sac plein d'idées préconçues, qui se sont envolées une à une, au fil des étapes. La deuxième fois, elle a parcouru le " chemin anglais " depuis La Corogne, lors d'une année sainte mouvementée. L'ultime voyage fut le vrai voyage, celui que l'on doit faire en partant de chez soi. Des bords de Loire à Saint-Jacques-de-Compostelle, de paysages sublimes en banlieues sinistres, elle a rejoint le peuple des pèlerins qui se retrouvent sur le chemin, libérés de toute identité sociale, pour vivre à quatre kilomètres-heure une aventure humaine pleine de gaieté, d'amitié et de surprises. Sur ces marcheurs de tous pays et de toutes convictions, réunis moins par la foi que par les ampoules aux pieds, mais cheminant chacun dans sa quête secrète, Alix de Saint-André, en poursuivant la sienne, empreinte d'une gravité mélancolique, porte, comme à son habitude, un regard à la fois affectueux et espiègle.
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Saint-Andre Alix De |
2010 |
Récit de voyage |
766 |
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Livre 1 |
Ce que savent les baleines
Résumé
Renouant avec son amour pour le Mexique, pays auquel il a consacré de nombreux ouvrages de fiction ou documentaires, Pino Cacucci s'attache à une partie méconnue de la Californie, qui n'a rien à voir avec San Francisco, les plages de Malibu, ou les studios de cinéma d'Hollywood. Il s'agit de la Basse-Californie, la Californie mexicaine : la plus longue péninsule du monde, presque deux kilomètres de terre entre l'Océan Pacifique et la mer de Cortès, dont la population s'est battue pour conserver son intégrité et son indépendance face à l'avancée des troupes américaines au XVIIIe siècle. Pino Cacucci est ainsi retourné dans " son " Mexique pour le parcourir et le raconter, du Sud au Nord, de La Paz à la frontière de Tijuana. Il en a tiré ce nouvel ouvrage qui, entre road movie et carnet de voyage, mêle descriptions des paysages exceptionnels (criques marines ou étendues désertiques peuplées de cactus aux formes étranges), anecdotes géographiques et historiques improbables et plaidoyer écologique pour cette région qui le fascine. Le long de la Carretera Federal 1, il a ainsi rassemblé des histoires de pirates et de trésors ensevelis, de jésuites et de missions abandonnées, d'Indiens et de voyageurs perdus. Sur les traces de Steinbeck, qui y voyagea dans les années 1940, il a redécouvert les légendes des reines et des perles géantes. Plus encore, son voyage est marqué par la rencontre avec le peuple des baleines qui viennent se reproduire dans ce qu'il appelle leur sanctuaire (et que J.M.G. Le Clezio évoquait dans le beau texte intitulé Pawana). Cacucci décrit avec émotion ces mammifères aussi gigantesques que fragiles, effrayants et pourtant si sociables envers les humains. En témoignent les criques dans lesquelles elles se rassemblent comme par enchantement pour jouer avec les bateaux des pêcheurs, un contact avec l'espèce humaine qui se retrouve peu dans le reste du monde. Les baleines se regroupent en effet par milliers dans ce qui apparaît comme leur dernier refuge. Sans doute parce que le Mexique fut le premier pays, il y a plus de soixante ans, à instaurer des espaces pour protéger ces animaux à l'intelligence mystérieuse. Les baleines le savent, elles ont certainement compris que les hommes sont tous des assassins, mais que dans cette région du monde vit une humanité plus authentique et plus amicale.
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Cacucci Pino |
2012 |
Récit de voyage |
1023 |
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Livre 1 |
Cygnes sauvages (Les)
Résumé
Point de départ :Tokyo, la ville tentaculaire. Après quelques jours passés à s'imprégner des signes de cette ville chaotique, l'auteur part pour le Nord. Accompagné de l'ombre tutélaire de Bashô, grand poète japonais du XVIIe siècle initié au zen qui fit aussi route vers le nord, il remonte peu à peu l'île principale d'Honshu, s'enfonce dans l'arrière-pays, franchit le détroit de Tsugaru, arrive à Hokkaidô. Cette terre que les Japonais ont conquise sur les Aïnous, un peuple de pêcheurs et de chasseurs implanté au Nord du Japon et à l'Est de la Russie, où, chaque année, des cygnes sauvages migrent depuis la Sibérie.
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White Kenneth |
2013 |
Récit de voyage |
949 |
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Livre 1 |
L'Homme qui marche
Résumé
" J'avais arrêté la date : le 18 aoüût 2000, jour anniversaire de ma naissance, allait être celui de ma métamorphose. Jean le marcheur laisserait derrière lui Béliveau le poseur d'enseignes pour avaler le monde ou s'offrir à lui, l'avenir le dirait. " C'est sur un coup de tête, le jour de son anniversaire que Jean Béliveau décide de quitter son Québec natal pour une marche autour du monde. Lorsqu'il se sépare de sa famille, il n'a que quelques dollars en poche et l'envie folle de se " frotter " au monde. Onze années plus tard, il aura réalisé la plus longue marche ininterrompue autour de la planète : plus de 75000 kilomètres parcourus à travers 64 pays. II tombe amoureux au Mexique - pour neuf jours. Porte turban et grande barbe au Soudan, mange des insectes en Afrique, du chien en Corée et du serpent en Chine, est escorté - lui, marcheur pour la paix - par des soldats aux Philippines. II ne tombe sérieusement malade qu'une fois et se fait soigner avec succès en Algérie, n'est attaqué que par deux jeunes voleurs ivres en Afrique du Sud, et arrêté à Addis-Abeba sans savoir pourquoi. Il a certes dormi sous les ponts, dans des foyers pour sans-abri, voire dans des prisons, mais a souvent été invité à dormir chez des gens séduits par son aventure. II témoigne aujourd'hui de cette fabuleuse odyssée terrestre et de ses plus belles rencontres aux quatre coins du monde.
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Béliveau Jean |
2013 |
Récit de voyage |
923 |
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Livre 1 |
Pays, villes , paysages (Ecrits de voyage)
Résumé
Voyageur fortuné, écrivain célèbre, proscrit de l'Autriche nazie : tout au long de son existence, le romancier du Joueur d'échecs, l'essayiste de Trois poètes de leur vie, a parcouru le monde, avide de comprendre les civilisations et les cultures, soucieux de frayer la voie à un nouvel humanisme. Dans ces récits, écrits entre 1904 et 1939, on trouve le reflet de cette passion et de cette espérance. A Salzbourg, à Séville, dans Ypres, la ville martyre de 1914-18, c'est la vieille Europe dont il magnifie la grandeur et pressent l'autodestruction. A Bénarès, c'est l'Inde mystérieuse où il cherche les voies d'une autre pensée. A Panama ou à New York, la modernité du capitalisme, l'audace de la technique ; à Moscou, le courage d'un peuple attaché à construire son destin. Et une véritable utopie, enfin, dans le jeune Brésil où il croit voir le creuset d'une société de progrès, d'égalité, débarrassée des préjugés raciaux ou nationaux... Par-delà le geste désespéré de Pétropolis en 1942, Zweig apparaît ici, plus que jamais, comme une des grandes consciences de notre siècle, le témoin d'une exigence humaine encore porteuse d'avenir.
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Zweig Stefan |
1998 |
Récit de voyage |
1141 |
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Livre 1 |
Via Appia (Voyage sur la plus ancienne route d'Italie)
Résumé
En descendant la Via Appia, cette route mythique qu'empruntaient les légionnaires romains, les éléphants d'Hannibal, les esclaves de Spartacus et les chars de Césars, Jacques de Saint Victor nous invite à un voyage peu commun. Outre le fait qu'il déteste la marche et ne se départit jamais d'un décapant sens de l'humour, l'auteur est l'un des plus fins connaisseurs de l'Italie. Au volant de sa vieille Panda, il nous introduit dans l'Italie profonde. Loin des tours opérateurs, des exploits sportifs et de l'égotisme gratuit, c'est une plongée au coeur des mythes, au croisement des grandes cités antiques et de l'ultra-violence des mafias d'aujourd'hui. Suivre l'Appia, la plus ancienne route de l'Occident unissant le christianisme et le paganisme, l'Antiquité et le Moyen âge, l'Occident et l'Orient, c'est retourner au berceau de la civilisation et de la vie publique. La Philosophie, la Démocratie, la Tragédie et la Comédie, Dieu et le Droit n'ont-ils pas trouvé leur source au creux de cette via publica ? Emprunter l'Appia, c'est aussi se frotter à la rudesse des « Sibéries du sud » et du populino, le petit peuple qui échappe aux statistiques et se reconnaît à son esprit « baroque », ses rites insolites et ses superstitions. D'ailleurs, la Regina Viarum, la Reine des Voies, n'a rien perdu de son antique vocation de lieu de perdition. L'auteur nous révèle certaines anecdotes inédites et troublantes sur ce Far-west fasciste, sur l'épisode des Marocchinate, sur les « nouveaux Guépards », la Camorra et la Casa Nostra, ces organisations secrètes et criminelles qui terrorisent et pillent le pays. Jacques de Saint Victor est un érudit passionnant qui a fait de cette traversée géographique un voyage heuristique, une remontée dans le temps et un petit traité du libéralisme intellectuel, ce qui n'est pas sans susciter de vifs débats avec sa femme. Naturellement, Michela, l'Italienne des Pouilles à l'irrésistible franc-parlé, est une députée féministe de gauche et professeur de philosophie morale tandis que son historien de mari ne jure que par Montesquieu et Tocqueville. Toujours dans un avion entre Rome et Paris, elle donne des conférences sur le couple pendant que lui développe « un cas préoccupant de régression touristique » en s'enfonçant dans les méandres de l'Appia. Mais n'est-ce pas aussi pour retrouver un peu de ce temps perdu de l'enfance, de cet état d'équilibre originel ?
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Saint Victor Jacques de |
2016 |
Récit de voyage |
1125 |
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Livre 2 |
Sur les chemins noirs
Résumé
2014. "L'année avait été rude. Je m'étais cassé la gueule d'un toit où je faisais le pitre. J'étais tombé du rebord de la nuit, m'étais écrasé sur la Terre. Il avait suffit de huit mètres pour me briser les côtes, les vertèbres, le crâne. J'étais tombé sur un tas d'os. Je regretterais longtemps cette chute parce que je disposais jusqu'alors d'une machine physique qui m'autorisait à vivre en surchauffe. Pour moi, une noble existence ressemblait aux écrans de contrôle des camions sibériens : tous les voyants d'alerte sont au rouge mais la machine taille sa route. La grande santé ? Elle menait au désastre, j'avais pris cinquante ans en dix mètres. A l'hôpital, tout m'avait souri. Le système de santé français a ceci de merveilleux qu'il ne vous place jamais devant vos responsabilités. On ne m'avait rien reproché, on m'avait sauvé. La médecine de fine pointe, la sollicitude des infirmières, l'amour de mes proches, la lecture de Villon-le-punk, tout cela m'avait soigné. Un arbre par la fenêtre m'avait insufflé sa joie vibrante et quatre mois plus tard j'étais dehors, bancal, le corps en peine, avec le sang d'un autre dans les veines, le crâne enfoncé, le ventre paralysé, les poumons cicatrisés, la colonne cloutée de vis et le visage difforme. La vie allait moins swinguer. Il fallait à présent me montrer fidèle au serment de mes nuits de pitié. Corseté dans un lit étroit, je m'étais dit à voix presque haute : "si je m'en sors, je traverse la France à pied". Je m'étais vu sur les chemins de pierre ! Je voulais m'en aller par les chemins cachés, flanqués de haies, par les sous-bois de ronces et les pistes à ornières reliant les villages abandonnés. Il existait encore une géographie de traverse pour peu que l'on lise les cartes, que l'on accepte le détour et force les passages. Loin des routes, il existait une France ombreuse protégée du vacarme, épargnée par l'aménagement qui est la pollution du mystère. Une campagne du silence, du sorbier et de la chouette effraie. Des motifs pour courir la campagne, j'aurais pu en aligner des dizaines. Me seriner par exemple que j'avais passé vingt ans à courir le monde entre Oulan- Bator et Valparaiso et qu'il était absurde de connaître Samarcande alors qu'il y avait l'Indre- et-Loire. Mais la vraie raison de cette fuite à travers champs, je la tenais serrée sous la forme d'un papier froissé, au fond de mon sac..." Avec cette traversée à pied de la France réalisée entre août et novembre 2015, Sylvain Tesson part à la rencontre d'un pays sauvage, bizarre et méconnu. C'est aussi l'occasion d'une reconquête intérieure après le terrible accident qui a failli lui coûter la vie en août 2014. Le voici donc en route, par les petits chemins que plus personne n'emprunte, en route vers ces vastes territoires non connectés, qui ont miraculeusement échappé aux assauts de l'urbanisme et de la technologie, mais qui apparaissent sous sa plume habités par une vie ardente, turbulente et fascinante.
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Tesson Sylvain |
2016 |
Récit de voyage |
1186 |
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Livre 1 |
Confidences cubaines
Résumé
C'est à vélo et sur 4 000 kilomètres que le Suisse Claude Marthaler a effectué sa révolution autour de Cuba. Désormais aux prises avec la mondialisation, à quoi ressemble donc le sanctuaire historique de Fidel Castro et d'Ernesto "Che" Guevara ? Désireux de s'affranchir du mythe, le voyageur s'immisce durant trois mois tant dans les ruelles de La Havane qu'au coeur des étendues de canne à sucre, au milieu des combats de coqs ou d'une centrale nucléaire désaffectée. Il s'imprègne des ambiances, dresse le portrait des gens simples qu'il croise - paysans, citadins, vendeurs ambulants - et recueille leurs confidences. Constat de la faillite d'une utopie autant que d'immenses espoirs latents, le récit de ce printemps cubain offre une vision pleine d'empathie de la plus vaste et célèbre île des Antilles.
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Marthaler Claude |
2015 |
Récit de voyage |
876 |
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Livre 0 |
Derrière les portes closes (Mes aventures en Iran)
Résumé
Officiellement, c'est interdit. Pourtant, pendant deux mois, en avril-mai 2014, Stephan Orth, jeune journaliste au «Spiegel», a parcouru 9000 kilomètres en Iran, délaissant les hôtels pour dormir chez l'habitant. Derrière les portes closes, le voile tombe et, de ce périple "très émotionnel" dans la vie quotidienne et l'histoire des Iraniens, entre une jeune dominatrice SM, une soirée bikini dans une ville ultrareligieuse, et les marques indélébiles laissées par la guerre Iran-Irak, il a ramené un livre plein d'humour et d'informations, best-seller en Allemagne, qui tient à la fois du récit de voyage, du guide «underground», et du reportage sur une société, l'une des plus jeunes au monde, qui, décalée, provocante, est en train de basculer dans notre modernité.
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Orth Stephan |
2016 |
Récit de voyage |
974 |
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Livre 1 |
Siberia (En canoë du lac Baïkal à l'océan glacial arctique)
Résumé
Cinq mois durant, seul à bord d'un canoë en toile, Philippe Sauve traverse la Sibérie sur son deuxième plus long fleuve, la Lena. De la chaîne du Baïkal aux rivages de l'océan Glacial Arétique, il parcourt ainsi 3 800 kilomètres à la seule force de ses bras. Il fait le gros dos sous l'orage, endure la morsure des insectes, craint les ours, fraternise avec les habitants évenks ou iakoutes des hameaux isolés puis reprend goût à la solitude, extrême dans ces régions reculées, après la rencontre de brigands. Au coeur de la taïga qui se dévoile au fil de l'eau ou sur la toundra qui borde les monts de Verkhoïansk, la nature s'offre au voyageur, le défie ou bien l'épuise. Mais gardant le nord pour horizon, Philippe Sauve pagaie sans faiblir jusqu'aux rivages déserts et ventés de la mer des Laptev, qu'il atteint au seuil de l'hiver, étanchant pour un temps sa soif de liberté.
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Sauve Philippe |
2014 |
Récit de voyage |
987 |
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Livre 1 |
Aborigènes (Avec les derniers nomades d'Australie)
Résumé
Avec les récits d'ethnologie et d'expéditions pour unique boussole, Eddie Mittelette a parcouru 11000 kilomètres en solitaire à vélo sur les pistes de l'Ouest australien. Sa fascination pour l'existence des Aborigènes l'a mené auprès des Martu : les derniers acteurs du nomadisme traditionnel. En deux années passées sur l'île-continent, il a partagé la vie quotidienne des familles et s'est assis au coin du feu pour savourer les nourritures ancestrales. Aux côtés des Aînés, il s'est aussi initié à la chasse et à la cueillette au coeur d'une nature âpre et magistrale, royaume d'une faune singulière. Avec réalisme, il porte ici un regard déférent sur une culture plurimillénaire, qui a basculé en l'espace de cinquante ans d'un mode de vie parcimonieux à celui d'une économie matérialiste au sein d'une société qui ne cesse de se repenser.
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Mittelette Eddie |
2015 |
Récit de voyage |
757 |
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Livre 1 |
Au vent d'Aventure (A la recherche des îles perdues)
Résumé
Il y a dans ce classique du voyage davantage d'escales que de mer et presque toutes ces escales sont des îles, des centaines, grandes, petites, connues, oubliées, peuplées, désertes. A partir de leurs îles originelles, les Chausey, l'équipage aborde les îles Anglo-Normandes, les Canaries, le Cap-Vert, les Antilles, les San Blas, les Perles, les Galapagos, les Marquises, Tahiti, Moorea, les Tuamotu, Hawaii et Alcatraz. Avec leur voilier Aventure, ils découvrent ce qu'est la manie des îles, la nésomanie. Il n'est pas de terre entourée d'eau où l'équipage ne s'attarde pour y vivre, y pêcher, y commercer, y jouir du temps qui passe. La mer est pleine d'îles, et il reste encore toutes celles vues dans la bruine, inabordables, inaccessibles, imaginaires, les plus désirables. Pendant trois ans, les trois équipiers divaguent sur les océans, deviennent robinsons avec les robinsons, indiens avec les Indiens, poissons avec la mer, vivants avec leur planète.
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Hervé Alain |
2016 |
Récit de voyage |
970 |
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Livre 1 |
Dans l'oeil du faucon
Résumé
Telle est la force de la littérature à sa plus haute intensité - et du voyage, parfois : nous réapprendre à regarder ce que nous ne voyons plus, à force d'habitudes, devenus sans nous en apercevoir indifférents, aveugles. Presque rien, ici, mais un rien où par magie il nous semble qu'affleure le monde entier. Presque rien, les Orcades une nuit de solstice d'hiver, un couple de faucons pèlerins occupés à nidifier, une navigation à la voile entre les îles du Nord, une rencontre avec des dauphins, un crâne de fou de Bassan sur une plage : l'univers de Kathleen Jamie dans le nord de l'Ecosse - et puis le frisson du vent, le goût du sel sur la peau, cette ivresse légère quand vous sentez que le monde vient, passe à travers vous, parce que vous ne faites plus obstacle. Et pour rendre cela, une acuité extrême du regard, une densité lumineuse de la phrase, précise, toujours légère et pourtant chargée, dirait-on, d'une infinité de pensées qui nous donne le sentiment d'ouvrir les yeux pour la première fois. On pourrait penser à John Muir, à H. D. Thoreau, mais on préfère se laisser entraîner, tout à la beauté de ses mots, tout à la pertinence de ses propos, tout à la vision qu'elle nous donne de ce monde, si proche mais qui pourtant nous avait échappé... Un bijou.
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Jamie Kathleen |
2015 |
Récit de voyage |
1153 |
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Livre 1 |
Au hasard des pistes (Deux Amériques à vélo (Les)) |
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Poirier Julie |
2006 |
Récit de voyage |
641 |