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Pour son premier best of, le groupe met les petits plats dans les grands : un inédit enregistré pour l'occasion, Du monde tout autour, un inédit exhumé des bandes de leurs tout débuts, Snark et plein d'images. Des images dessinées par Robin bien sûr mais aussi des films. Un documentaire de 66 minutes datant de 1998, année où le groupe devint un phénomène de société, une session de 4 titres enregistrés en studio cette année là et un petit documentaire sur l'enregistrement de leur troisième album à NY.

Produit par Nick Sansano (Noir Désir, Iam), l'album propose les thèmes de prédilection du groupe autour d'un engagement festif. Une fois de plus l'alchimie irrationnelle qu'il y a entre eux fait mouche.

Deux ans et demi après la sortie de son premier album, la chanteuse Québécoise revient ici avec un disque. A nouveau, le thème de l'échange amoureux, dans tous ses états, sera le fil conducteur, comme le fil de vie, sincère et tenace, d'une jeune artiste unique qui, avec trois Victoires de la Musique, s'est imposée à une vitesse inédite comme l'une des icônes de sa génération.

Fils d'immigrés algériens établis dans un quartier populaire de Roubaix, Kaddour Haddadi, dit HK, se définit avant tout comme un citoyen du monde, un saltimbanque sans frontières, qui souhaite transmettre ses révoltes, ses rêves et sa folie.

Comme toujours, le mot d'ordre d'Amélie est : pas comme la dernière fois. Il en ressort cette fois-ci un ensemble très folk par moment où l'on découvre, autour du piano ou de la guitare, des instruments plutôt inhabituels tels le dulcimer, la lyre ou le banjo. Tout un nouvel univers naviguant sur des textes qui parlent d'amour bien sûr, mais aussi de partir ou rester, d'accompagner, de se battre et d'avancer. Un album en mouvement donc, entre courses folles et pauses romantiques où l'on retrouve encore une fois l'étonnant talent de mélodiste d'Amélie et cette poésie qui font tout son charme depuis maintenant dix ans.

Après le succès de La superbe en 2009, deux Victoires de la Musique, et une tournée mondiale à guichets fermés, Benjamin Biolay livre un album aux influences new wave ou hip-hop amplifiées et totalement assumées : guitares et beats massifs vont au clash et le chant sait se faire flow quand il faut. D'autres titres, plus sensibles et intimes, emmènent les sentiments en ballade mélancolique. Et, comme toujours, l'habituelle élégance de l'écriture est au rendez-vous.

Avec ce disque, elle explore d'autres identités sonores et trouve son équilibre à mi-chemin entre éléments acoustiques et synthés analogiques, sur une rythmique pop et des mélodies toujours aussi claires et inspirées.

Sur ce sixième disque, enregistré dans sa maison d'Ardèche, la gagnante du Prix Constantin en 2009 parcourt avec aisance des mélodies pleines de poésie, autant que les mots qui les accompagnent. Les histoires sont des poèmes ou des contes, toujours un peu surréalistes.

Ce treizième album du groupe angevin est une projection de la vie sur grand écran. Une production singulière, marquante, avec une mise en sons subtile de Jean Lamoot, qui capture la lumière des mélodies, la chaleur des rythmes, la douceur des mots, toute une densité musicale et poétique. Instruments et voix sont dressés vers un même idéal, avec de nombreux invités.